Un concert … mais pas que.
Tout le monde écoute du piano, dans certains arrangements de rappeurs actuels, dans des musiques de films qui nous accompagnent (même dans la Reine des Neiges, oui oui !), ou pour les plus pointus, dans les indémodables vinyles de standards, classique ou jazz. Mais un concert de piano solo ? Avec de vraies compositions inédites ? A part Chilly Gonzales, ou Sofiane Pamart, on voit encore rarement ça…
Le pianiste Pierre Mer révèle, le temps d’un concert, des compositions où se mêlent diverses esthétiques pour former des sonorités nouvelles et… inclassables. Porté par des mélodies uniques, le public se laisse emporter loin, très loin, au gré des souvenirs et images que le pianiste égrène note après note.
Inclassable, cela décrit aussi son spectacle. Allant de défi en défi, cet artiste surprend son public : échanges, devinettes, quizz, de l’improvisation, de la danse,
deux dés…
Un concert, mais pas que. Un concert-spectacle interactif, à vivre et à partager sans modération, où parfois la danse s’immisce pour magnifier la musique !
Lien entre musique et danse
Musique et danse, deux arts intimement liés.
« Les interactions entre la danse et la musique remontent à des temps très anciens (paléolithique) et se perpétuent encore aujourd’hui. La danse, tout comme la musique, est révélatrice, selon les différentes façons de la pratiquer, des modes de vie et des sociétés. Elle peut en effet être un art, un rituel ou un divertissement. Elle entretient des liens étroits et directs avec d’autres arts comme la musique, la peinture ou la sculpture par exemple. Elle exprime, par le biais du corps, idées, émotions ou peut raconter et illustrer une histoire. Cet art de mouvoir le corps humain est organisé en une suite de mouvements ordonnés, souvent rythmés par de la musique. Il semble en effet logique que ces deux arts, musique et danse, dialoguent si bien, puisqu’ils partagent des aspirations communes et fusionnent en plusieurs points. » Anne Thunière, pour la Philharmonie de Paris
Le concert-spectacle Piano loco fait la part belle à la musique et aux compositions de Pierre Mer. La danseuse intervient ponctuellement, ses chorégraphies s’inspirant des mélodies jouées. La danse se met au service de la musique, une osmose se crée.
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